►►►► | Une spirale économique toxique - Thème 6 sur 10 |
« Il faut un ordre planifié pour la production des biens,
l’emploi de la main d’œuvre et la répartition des marchandises fabriquées;
car il s’agit d’éviter la disparition menaçante de ressources productives importantes,
l’appauvrissement et le retour à l’état sauvage d’une grande partie de la population. »
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Albert EINSTEIN - “Comment je vois le monde”
(Editions Flammarion, 1934)
Dérèglementation, dérégulation et interactions socioéconomiques locales
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L’illustration la plus parlante de l’absurdité de la dérégulation qui constitue le moteur de la mondialisation économique, peut consister dans une comparaison avec le code de la route.
Les embarras de la circulation nuisent à la qualité de vie des individus et coutent cher à la société : facture énergétique gonflée par le gaspillage de carburant, temps de travail et de loisirs perdu, efficacité amoindrie par la fatigue et l’énervement, conséquences des accidents de la route, dépenses de santé publique liées à la pollution, etc. Tout le monde est d’accord à ce sujet.
Ajoutons à cela le fait que tous les citoyens ne sont pas égaux face aux embouteillages. De plus, un territoire peu circulable risque également de nuire au tourisme et aux investissements étrangers…
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● Heureusement pour l’environnement, bien peu sont en mesure de s’affranchir des contraintes routières en hélicoptère.
● En France, seulement 7% à 15% des personnes se rendent à leur travail à pied, et moins de 4% à vélo.
● Rares sont ceux qui peuvent se consacrer à leur travail durant leur transport, dans un véhicule particulier conduit par un chauffeur.
● Et si les transports en commun couvrent 64% des déplacements à Paris, ce taux est de moins de 30% en grande couronne et de seulement 3% en province, en dehors des grandes agglomérations.
Les aléas du trafic routier affectent donc quotidiennement la plupart d’entre nous.
C’est entendu, il est nécessaire de fluidifier le trafic routier. Mais quelles solutions envisager dans cette perspective ?
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● Développer les transports en commun ? C’est bien sûr un investissement rentable à long terme, mais à court terme cela revient cher et pèse surtout sur le budget de l’État.
● Inciter à leur utilisation par leur gratuité, ou par des aménagements tarifaires en fonction des revenus ? Cela revient encore à un alourdissement de la dépense publique.
● Repenser la localisation du travail et de l’habitat ? Revoir la politique de l’immobilier, en termes d’incitation à la construction, combinée avec une lutte contre la spéculation, et une modération des loyers ? Voilà qui va à l’encontre de la loi des marchés…
Voici la réponse des promoteurs de la mondialisation néolibérale : supprimons le code de la route !
C’est en quelque sorte l’argument néolibéral du libre-échange : le laisser-faire au service du laisser-passer, et réciproquement… De cette loi du chaos donnant libre cours à la sélection naturelle doit naître un nouvel ordre, celui du plus fort
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► Rationaliser le trafic, oui :
● Certains feux et stops ont pu être avantageusement remplacés par des ronds-points, avec inversion du sens de priorité (même si la France se distingue par dans ce domaine par un excès particulièrement couteux…)
● L’aménagement des règles, telles que celles adaptées aux cyclistes (autorisation des sens-interdits, de tourner à droite aux feux rouges), des voies réservées aux transports en commun, ou la modulation de la vitesse sur autoroute en fonction du climat, permet d’optimiser le trafic en l’adaptant à chaque catégorie d’usager et à différentes conditions de circulation, dans l’intérêt de tous.
► Mais contraindre les territoires à régresser, non !
● Nous pouvons imaginer les conséquences d’une suppression pure et simple de toute règle en matière :
→ de limitation de vitesse,
→ de sens de circulation,
→ de conditions technique de sécurité des véhicules,
→ et de responsabilité comportementale des conducteurs ?
● Or c’est précisément le cas de la dérégulation économique qui :
→ permet l’entrée sur un territoire, de produits non soumis au règles locales
→ (sociales, fiscales et environnementales),
→ et, de ce fait, obligent la production locale à s’aligner sur cette non-qualité…
► Les modalités de cette régression socioéconomique :
● La déréglementation associée au libre-échange est au centre de ce processus. Imaginons que sur le territoire français, le code de la route ne soit pas le même pour les résidents français et pour les étrangers roulant sur le réseau français… Chacun pouvant conduire en fonction des règles et même de pratiques délictueuses propres à son territoire de résidence ! C’est exactement ce que permettent les accords de l’OMC, la notion de dumping n’étant en réalité pas prise en compte, du fait de l’inversion de sa définition par cette organisation internationale…
● Un conducteur résident est soumis au code de la route français, lui imposant de :
→ s’arrêter au feu rouge et marquer les stops,
→ respecter les priorités,
→ s’arrêter devant les passages protégés pour laisser traverser les piétons,
→ ralentir devant les sorties d’écoles,
→ utiliser les ceintures de sécurité le protégeant ainsi que ses passagers,
→ et entretenir son véhicule afin de réduire les risques d’accidents et l’excès de pollution.
● Confronté sur le même réseau routier à des véhicules dispensés de respecter ces mêmes règles,
→ non seulement ce conducteur français ne jouit pas des mêmes droits que la plupart des conducteurs étrangers sur son propre territoire, et se trouve désavantagé dans l’usage de son propre réseau, comme dans celui de la plupart des réseaux routiers étrangers,
→ mais de plus, il est mis en danger, ainsi que les autres catégories d’usagers (cyclistes, piétons) sur son propre territoire.
● C’est ainsi que la sécurité routière serait mondialement tirée vers le bas, au lieu de bénéficier globalement des meilleures pratiques.
Bien que les conducteurs français ne bénéficient pas de la meilleure réputation du monde, les comportements de conducteurs étrangers affranchis de notre règlementation nationale n’auraient aucune raison d’être meilleurs, au contraire.
Or c’est une situation à tout aussi aberrante qui prévaut dans le cadre de la mondialisation des échanges commerciaux et de la globalisation financière, qui ne nous laisse guère pour alternative que de :
→ renoncer à notre propre règlementation en matière de protection sociale et environnementale,
→ ou accepter le démantèlement de pans entiers de notre économie, soumis à une concurrence mondiale génératrice d’un dumping diversifié et combiné (social, fiscal, environnemental, etc.)
● Quant à la spéculation financière livrée à elle-même, elle revient à peu près à intensifier le trafic aérien hors de tout contrôle, en supprimant les aiguilleurs du ciel* !
Voir notre page « L’évolution de la pensée et des courants économiques - 6 »
§ Les néoclassiques et le néolibéralisme…
… et sur Slate.fr cette excellente analyse des dogmes néolibéraux :
(de John Quiggin - Traduit par Jean-Clément Nau - publié le 03.11.2010)
« L’économie-zombie. Comment des idées mortes continuent de circuler parmi nous. »
►►►►►►►►►►►● L’idée-zombie n°1 : « La grande modération »
►►►►►►►►►►►● L’idée-zombie n°2 : « L’hypothèse des marchés efficients »
►►►►►►►►►►►● L’idée-zombie n°3 : « L’équilibre général dynamique et stochastique »
►►►►►►►►►►►● L’idée-zombie n°4 : « L’hypothèse du ruissellement »
►►►►►►►►►►►● L’idée-zombie n°5 : « La privatisation »
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« 5 “idées-zombies” qui refusent de mourir » | ►►►►►►► |
Cela fait des décennies que l’Union Européenne, insuffisamment démocratique, est instrumentalisée par des dirigeants ultra-libéraux qui organisent le dumping en son sein, en intégrant des membres toujours plus low cost, sans mettre en place de sas de décompression en vue d’amortir le choc des échanges, ni envisager d’harmonisation réglementaire par le haut en matière sociale, fiscale et environnementale…
« Dessine moi l’éco - Peut-on concilier diversité des modèles européens et monnaie unique ? »
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La politique néolibérale de type monétariste, consistant dans la recherche de prix bas par une pression à la baisse des coûts de production, présente un double effet pervers dont les conséquences sont désastreuses :
→ tant pour le pouvoir d’achat des particuliers que pour le tissu industriel des territoires,
→ ainsi que pour le budget de l’État, et donc pour sa capacité de réguler le système de protection sociale.
(lire la suite…)
► La dictature des coûts : erreur de perspective ou abus de confiance ?
● La réduction des coûts de production pourrait effectivement sembler constituer une avancée :
→ pour le pouvoir d’achat des consommateurs,
→ comme pour la compétitivité des produits et services, aussi bien sur le marché international que localement.
● Mais en réalité, lorsqu’elle résulte de l’augmentation de la productivité :
→ c’est non seulement par l’accroissement du rendement exigé du travail lui-même,
→ mais aussi par la substitution des investissements productifs aux emplois.
→ (informatisation, mécanisation, automatisation)
● De surcroît, la pression permanente à la baisse des coûts de production s’accompagne du recul de la protection sociale, du recul continuel de l’âge de la retraite et de la diminution relative du montant des pensions versées individuellement au retraités (total versé par personne, en tenant compte de l’inflation réelle ; cet effet étant en partie masqué par une évaluation biaisée du pouvoir d’achat).
► Dérégulation des échanges : le piège de la compétitivité par les coûts
● Le coût de référence sur un marché dérégulé, est par définition le coût le plus bas, générateur de dumping.
● Délocaliser la production vers les territoires à bas coût, permet au-moins de résister à une concurrence insoutenable, et au mieux d’optimiser les profits.
● Mais les importations massives de biens et de services en provenance de pays à bas coûts, y compris celles générées par l’effet boomerang des délocalisation, détruisent l’emploi industriel et un grand nombre d’activités de service dans les pays développés.
● Elles compromettent également le dialogue social et sont responsables de la stagnation des salaires et de la régression du pouvoir d’achat. Bref, il s’agit d’un processus de régression du développement socioéconomique d’un territoire désavantagé dans cette guerre des coûts.
● Et cette réduction des coûts privés a donc trop souvent pour conséquence un accroissement plus que proportionnel des coûts socioéconomiques du chômage et des tentatives de remédier à ses conséquences, notamment l’inexorable délitement social des territoires.
● Il résulte donc d’une politique systématique de réduction des coûts de production, une pénétration accrue du marché intérieur de biens, de service et de capitaux, par des importations à bas coût et une optimisation du chiffre d’affaire essentiellement commercial, au détriment de la Valeur Ajoutée de la production locale et de l’emploi.
● En outre, “bas coûts” ne signifie pas forcément “bas prix”, et encore moins un meilleur rapport qualité / prix, mais des prix de produits et services importés inférieurs aux prix locaux, et surtout (et c’est l’objectif court-termiste réel d’une telle politique) des marges commerciales très supérieures.
Désormais, ce sont des mastodontes économiques qui, dans tous les domaines d’activités vitaux (eau, énergie, santé, télécommunications, etc.), s’arrogent des rentes illégitimes et indues prélevées sur les populations, au détriment de la gouvernance des États.
En l’occurrence, ce n’est pas l’impôt qui tue l’impôt, mais bien la dictature des marchés faussés par la disproportion des rapports de forces devenus purement financiers qui déséquilibre les budgets publics et neutralise la capacité de régulation des gouvernements, voire leur représentativité démocratique réelle.
(lire la suite…)
► Les entreprises multinationales sont parvenues à une situation d’oligopoles (ou de quasi-monopoles) :
● grâce au dogme néolibéral de la “concurrence libre et non faussée”,
● mais en réalité, totalement faussée du fait de l’absence de régulation internationale anti-dumping, aussi bien sur le plan social, qu’environnemental, monétaire, fiscal, etc.
► Le prétexte de la prétendue liberté de concurrence était de prévenir la formation de monopoles.
● Mais cette loi de la jungle a au contraire provoqué et amplifié un phénomène de concentration des activités économiques au détriment de la diversité des acteurs,
● tout comme l’absence de conditions relatives à la protection de l’environnement a accéléré la destruction de la biodiversité…
● Au final, le processus de fusions / acquisitions conduisant à cette concentration oligopolistique, réduit mécaniquement l’emploi par la mise en commun de ressources humaines qui aboutit à une réduction des coûts et à une augmentation des profits et du revenu actionnarial, au détriment du revenu salarial des populations.
► D’où l’importance de mettre fin au contresens majeur de la non-gouvernance économique :
● Désormais, les populations sont captives de cette toile d’araignée économique…
→ dont la conséquence première consiste dans un pouvoir discrétionnaire d’imposer des prix excessifs,
→ sans garantie de respect d’un cahier des charges en matière de qualité,
→ et dont seuls les politiques auraient le pouvoir de réduire l’emprise dans les limites de l’acceptable,
→ mais à la condition d’être eux-mêmes libres de tout conflit d’intérêt…
● L’enjeu réel en matière de prix repose donc :
→ non sur une pression constante à la baisse indifférenciée des coûts de production,
→ mais sur une limitation des dérives en matière de marges,
→ tout en s’assurant que les coûts remplissent bien les conditions d’une qualité QSE globale,
… c’est-à-dire :
→ les coûts réels de la Qualité Sociétale et Environnementale des produits et des services,
→ qui permettent de remédier aux dommages collatéraux des activités économiques,
→ les multiples externalités économiques négatives, laissées à la charge de la collectivité :
►▪ environnementales (dérèglements et destructions des écosystèmes),
►▪ socioéconomiques (destruction de l’emploi et dérèglement des équilibres de répartition naturelle des revenus),
►▪ dérèglement de l’équilibre sociologique des contributions au système fiscal,
►▪ accroissement insoutenable du besoin de compensation sociale par les pouvoirs publics,
►▪ conduisant à la faillite le système de protection sociale sinon l’État lui-même (dette publique),
►▪ à moins de programmer la déconstruction progressive du système de protection sociale,
… voire mieux, beaucoup mieux même, pour les véritables responsables de ce processus :
►▪ privatiser le système de protection sociale,
►▪ essentiellement au profit de compagnies d’assurance et de gestion financière,
… précisément le secteur le plus impliqué
dans la crise économique mondiale actuelle.
Comparer ce qui est comparable, et décider de ce qui est souhaitable.
« Dessine moi l’éco - Comment mesure-t-on le chômage ? »
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Décider, démocratiquement et en réelle connaissance de cause, de ce qui est souhaitable.
● Quelle société voulons-nous aujourd’hui et dans l’avenir ?
● Quels sont les meilleurs moyens d’y parvenir ?
C’est un enjeu majeur de démocratie que d’y répondre nous-mêmes, avant que ne soit achevée malgré nous l’Œuvre au Noir des apprentis-sorciers qui s’emploient à y répondre à notre place par la déconstruction progressive (mais désormais accélérée) des systèmes de protection sociale et la neutralisation de nos institutions.
(lire la suite…)
Car la mise au point de la pierre philosophale du profit optimal par une oligarchie planétaire ne relève pas du miracle, mais bien d’une alchimie de bazar mondialisé et globalisé par elle, consistant à transformer en plomb la “valeur-travail” et l’avenir des sociétés démocratiques, pour, à l’inverse, extraire et faire remonter vers leur Olympe, l’or résultant de la prédation économique, de l’évasion fiscal et de la casse sociale.
Le processus n’est d’ailleurs pas sans rappeler celui de la fracturation hydraulique employée dans l’extraction du gaz de schiste…
En cours de rédaction
Comment y parvenir ?
Concernant la question d’un revenu de subsistance et d’une protection sociale garantissant la dignité de tous, deux questions essentielles se posent :
● Le coût d’un tel système.
Y répondre suppose de remettre à plat le mode d’analyse des coûts liés à la casse sociale (chômage et exclusion), d’une part, et ceux de la protection sociale et son mode de gestion, d’autre part.
● Et sur quelle source de création de richesse l’appuyer ?
Les activités économiques de production ? De distribution ? Sur la consommation ? Sur un type particulier de fiscalité ? Sur un panachage de ces différents supports ? En fonction de quels facteurs ?
(lire la suite…)
► Vers une vérité des coûts de la protection sociale en France
● Le coût que le lobby des firmes pharmaceutiques fait peser sur la sécurité sociale n’est pas justifié, pour peu que l’on ne prenne pas pour argent comptant leur auto-évaluation du coût de la recherche et du développement de nouvelles molécules.
● Quant à la Commission Européenne dont on connaît la grande ouverture au discours des lobbyistes présents à Bruxelles, son programme “Innovative Medicines Initiative” ne fait qu’alourdir la barque de la protection sociale, qui n’en avait vraiment pas besoin.
Une priorité socioéconomique consiste dans le recadrage de ces pratiques afin d’éliminer le parasitage du système au détriment de ses destinataires.
En cours de rédaction :
► Redéfinir les objectifs et les modalités du système social national.
● *Redéfinition du système français de protection sociale. Vers la mise au point d’un système mondial ?
● Redéfinition du système de redistribution. Vers la réforme des échanges internationaux et une coopération mondiale ?
Chapitre en cours de rédaction
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10. Les coulisses de la grande distribution
14. Mise en cause de l’indice INSEE des prix du « panier de la ménagère » - Consommateurs et petits producteurs, tous perdants ?
16. Le scandale de la grande distribution
17. Relation commerciale Petits Producteurs / Grande Distribution : le pot de terre contre le pot de fer !
18. Hausse des prix : l’enquête bidon
24. Délocalisation des emplois : acceptez de travailler pour 110 € par mois !
25. La Saga du démantèlement du porte-avion Clémenceau
26. HP automatise des centres de données et supprime 9.000 emplois
27. Compétitivité, robotique et productivité, contre l’emploi
28. La France, lanterne rouge de l’agriculture bio européenne
30. Le combat des salariés de Molex (Villemur-sur-Tarn)
31. Affaire Moulinex : mises en examen requises de la Société générale et du Crédit Lyonnais
41.a Wal-Mart, un modèle fondé sur le pouvoir d’achat mais aussi la précarisation
41.b Les inégalités s’accroissent entre riches et pauvres
42. 30 années de calvaire de l’industrie française
44. L’Affaire Daewoo : raflons les aides publiques et tirons-nous !
45. BULL Belfort : plan social, et après ?
47. Retour sur… La réforme des retraites au Sénat
48. Comment se prépare la privatisation de la Sécu
49. Pas de classes moyennes sans redistribution sociale et fiscale ?
51. Violences des forces de l’ordre gratuites (manifestation pacifique - 21 janvier 2011 à Anduze)
52. Erreurs judiciaires en France
53. Le nombre de filles mineures impliquées dans la délinquance en hausse
54. Les locaux de Rue89 cambriolés pour la deuxième fois, les ordinateurs volés… Journaliste, un métier à risque même en France ?
55. Violences et émeutes à Grenoble (juillet 2010)
56. Le chômage, première priorité des Français loin devant l’insécurité
57. Chômage, un mensonge d’État
58. Chômage et exploitation humaine, les 2 jambes du néo-libéralisme en marche forcée partout dans le monde
59. Le boom du surendettement !
60. Le nombre de SDF a augmenté de 50% depuis 2001
61. Restos du cœur : une fréquentation en grande augmentation
100. Les agences de notation : discréditées par leurs conflits d’intérêts
101. Les agences de notation sacquent les aspirations démocratique des Tunisiens…
102. L’arène économique boursière : « Ave, speculator. Morituri te salutant !
103. Bruxelles : lobbying financier
104. Corruption au Parlement Européen
105. L’Europe du Capital (« Le Président », de Henri Verneuil - 1961 - avec Jean Gabin (d’après Georges Simenon, dialogues de Michel Audiard)
106. Le remède libéral de la Commission pour soigner l’Europe en crise
107. Réaction citoyenne contre la libéralisation du marché de l’eau en Europe
108. Hervé Kempf : « L’oligarchie ça suffit ! »
109. Georges Pompidou, alors 1er ministre de De Gaulle, prône le libéralisme à l’américaine (néolibéralisme) dès 1967
110. Les 3 principaux facteurs de la dette publique, de Pompidou à nos jours
111. Article 104 du Traité de Maastricht de 1992 (article 123 du Traité de Lisbonne)
112. D’où provient l’argent de l’économie mondiale ? Pourquoi la dette publique grossit-elle si vite ?
113. ONU : « Le scandale de la faim dans le monde ! »
114. ONU : l’impuissance des Nations Unies face à l’indifférence de l’OMC aux enjeux sociétaux et sanitaires de l’humanité (dictat des marchés et dogme du laisser-faire)
Module en cours de rédaction