►►►►Une spirale économique toxique - Thème 5 sur 10


« La où des hommes sont condamnés à vivre dans la misère
les Droits de l’Homme sont violés.
S’unir pour les faire respecter est un devoir sacré. »

Père Joseph Wrésinski, fondateur d’A.T.D. Quart-Monde, le 17 octobre 1987



Dette Publique, Budget de l’État & Fracture sociale


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L’origine et la logique de la Dette Publique

« Dessine moi l’éco - Comment un État peut-il faire faillite ? »

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Du fait de l’importance stratégique de la dette publique dans le processus de confiscation du rôle de gouvernance socioéconomique des États par la sphère financière mondiale, nous lui consacrons une page spéciale :

« La Dette Publique est-elle l’arme des marchés contre les États ? »


  • La spectaculaire crise financière de 2008 et la profonde crise de l’économie productiviste et consumériste mondiale qu’elle a déclenchée, ont fait exploser la dette publique de la plupart des pays développés. Mais aussi, désormais, bien des certitudes si longtemps assénées par les gourous des marchés, avec tant d’arrogance…

    (lire la suite…)

    • ● Ce fut l’occasion de voir s’affronter (enfin) deux orientations opposées, liées à deux courants économiques théoriques très divergents, alors que la mondialisation commerciale et la globalisation financière à l’œuvre depuis plus de 30 ans sont le fruit exclusif de l’idéologie néolibérale, dont la pensée unique avait éclipsé depuis les années 80 les politiques keynésiennes de gouvernance économique par les États.

      Après une première phase de politique de rigueur imposée par l’orthodoxie des organisations économiques internationales, et les résultats qui ne se sont pas fait attendre (récession, records des taux de chômage, décomposition sociétale), certaines psychorigidités doctrinaire sembleraient prises de doutes : peut-être la saignée ne serait-elle finalement pas le meilleur des remèdes pour guérir les économies de leur choc anémique ?

      ● Surtout si ce mal, aggravé par le coup de boulet de 2008, préexistait dans nos corps sociaux, du fait des blessures multiples déjà occasionnées depuis des décennies par les éperons de la compétitivité imposée par la dérégulation commerciale et financière mondiale. Car notre désindustrialisation et notre chômage structurel ne datent pas de 2008, mais bien des années 80…


Plutôt qu’une rigueur budgétaire inflexible, peut-on appliquer une politique keynésienne de relance ? Ses vertus et ses limites


« Dessine moi l’éco - Dessine moi l’éco : Qu’est-ce que le mur budgétaire ? »

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Les tenants de l’idéologie néolibérale pour lesquels l’État est le problème et non la solution, ont une vision très simple de la problématique de la dette publique : elle provient essentiellement de la dépense indue et inefficace des États. Il suffirait donc de réduire la secteur public à un noyau dur minimal, en privatisant la majeure partie de la fonction publique

S’il est vrai que la dépense publique fait l’objet de nombreuses dérives, celles-ci sont surtout le fait de dysfonctionnements d’une démocratie confisquée par un personnel politique carriériste qui tire avantage sans vergogne du pouvoir dont il dispose : clientélisme et conflits d’intérêt en tous genres.

Cliquer :
« L’argent des communes » - Documentaire “Envoyé Spécial” diffusé le 21/11/2013
« L’argent des communes » sur YouTube (de 00:37:00 à 01:12:30)

Remettre à plat les structures de l’administration publique, afin d’en rationaliser le fonctionnement et de mieux maîtriser son coût, est un objectif incontournable. Faute de quoi, la régression socioéconomique de notre pays s’accompagnera d’une corruption croissante qui ne fera qu’accélérer notre faillite.

Mais l’origine de la dette publique des États ne tient pas tant dans des dépenses inconsidérées et illégitimes, que dans la perte de leurs ressources légitimes et leur renoncement à réguler leur économie.

Un double zoom est nécessaire afin de mettre tout particulièrement en relief :

  • la responsabilité majeure de l’évasion fiscale comme cause du manque à gagner des États, lequel aggrave d’autant plus leur déficits budgétaires, que les dépenses nécessaires à leurs territoires et à leurs sociétés :

voir en page « Évasion fiscale et Dette Publique »

  • les autres causes majeures du déficit budgétaire à l’origine de la dette des États, et ses conséquences sur la vie des populations :


Libre-échange, dumping structurel et déficit budgétaire de l’État-providence


  • Nous expliquons en page « Consommation - Production et Développement Socioéconomique Local » en quoi le dumping résultant d’un libre-échange inconditionnel et de la globalisation financière, est le principal responsable du déficit budgétaire croissant des économies conservant une réglementation sociale, fiscale, environnementale orientée vers l’intérêt général de leurs populations et de la planète.

    (lire la suite…)

    • Dans le contexte d’une économie socialement régulée au niveau national
      … confrontée une économie mondiale dérégulée

      ● Le dumping provient essentiellement d’économies :

      n’ayant jamais mis en place de régulation sociale et environnementale
      (notamment la Chine),

      ou y ayant plus ou moins renoncé (par exemple l’Allemagne),

      comme de celles se permettant des entorses stratégiques aux lois du
      libre-échange (entre autres, les États-Unis) quand cela les arrange.

      ● Dans ces conditions, les territoires les plus respectueux à la fois des intérêts de leur populations, de l’environnement et des règles économiques mondiales, sont les pigeons de la mondialisation. C’est malheureusement à cette catégorie que la France appartient…

      ● Comme nous le formulons en page

      « La Dette Publique est-elle l’arme des marchés contre les États ? »

      que ce soit intentionnelle ou non (les “complots” ne sont pas toujours théoriques, et se résument tout simplement à des stratégies concertées), les (non)règles et les mécanismes de la mondialisation économique néolibérale aboutissent de fait à :

      accentuer les impacts sociaux, sociétaux et environnementaux négatifs de la
      croissance économique sans règles des pays émergents, à l’intérieur et à
      l’extérieur,

      comme de celle des pays qui tendent à s’aligner sur eux par le bas, en
      dérégulant leur propre marché du travail et en ouvrant toujours plus leurs
      autres marchés (biens & services et finance),

      faire régresser les économies résistant à cette pression dérégulatrice,
      en plombant leur compétitivité, et leur dette publique,

      dans tous les cas, marginaliser le rôle de régulation économique des États, et
      neutraliser leurs institutions démocratiques en rendant leurs fonctions
      inopérantes.

  • Dans un pays soumis au dumping commercial international sur son propre marché intérieur, toute compensation sociale par l’État des destructions économiques subies, en conservant un système de protection sociale très couplé au entreprises, et un niveau de fiscalité moyen ou haut, conduit à :

    dans l’immédiat, un accroissement de son déficit budgétaire, et donc de l’endettement public,

    à moyen terme, une perte de compétitivité de son économie et un recul de sa croissance.

    (lire la suite…)

    • Dans ce contexte d’une économie socialement régulée au niveau national
      … confrontée une économie mondiale dérégulée

      ● Certains amortisseurs sociaux, tels que les allocations chômage, se substituent en partie aux pertes de salaires consécutives aux licenciements.

      Mais d’une part, ce processus est soumis à une limite naturelle :

      l’équilibre entre ses propres ressources (cotisations salariales et patronales),
      elles-mêmes liées à l’emploi, et ses dépenses.

      Dans le cas où le chômage structurel croît, cet équilibre ne peut plus être maintenu et ce système est menacé.

      Et d’autre part, il ne compense pas totalement la perte de revenus, et donc de pouvoir d’achat, résultant des licenciements.

      ● L’État tente de complémenter cette perte de revenu des ménages, par divers moyens, parmi lesquels :

      des minima sociaux, tels que le Revenu de Solidarité Active (RSA) ou
      autres allocations soumises à un plafond de revenus,

      la Couverture Médicale Universelle (CMU), également soumise à un plafond de
      revenus.

      Mais ce système a davantage pour effet (encore que très relatif) de limiter la fracture sociale consistant dans la paupérisation d’une part croissante de la population, que de réellement maintenir le pouvoir d’achat dans une logique de soutien de l’activité économique globale.

      ● L’État tente également de soutenir l’emploi, par exemple en pratiquant une réduction des cotisations sociales patronales ou de la TVA, ciblée par catégorie d’entreprise ou de secteur d’activité, et bien d’autres mesures possibles.

      Pratiquement toutes ont pour conséquence, dans l’immédiat, un manque à percevoir, se traduisant par un accroissement du déficit budgétaire de l’État. La contrepartie de recettes supplémentaires différées dans le temps, est conditionnée au succès de cette politique de relance d’inspiration keynésienne.

      Lequel est précisément de plus en plus compromis par le déficit de la balance commerciale, provenant de la préférence des consommateurs pour des produits à bas coûts importés, plutôt que pour une production locale à coût normal (généralement supérieur) du fait de la réglementation sociale en vigueur…

      Encore et toujours l’effet dumping. Le serpent se mord la queue.

      ● Or ce manque à gagner s’ajoute à celui résultant de la baisse automatique des recettes fiscales provoquée par les fermetures d’entreprises, la perte de revenus des ménages, et bien sûr les dispositifs légaux d’optimisation fiscale, sans parler bien entendu de la fraude fiscale de particuliers et d’entreprises.

      Voir à ce sujet notre page : « Évasion fiscale et Dette Publique »

      L’alternative, si elle existe encore vraiment se résume à :

      soit une croissance inexorable de la dette publique,

      soit une aggravation tout aussi inexorable de la fracture et du délitement
      de nos sociétés.

      … voire les deux simultanément, ce qui ne fait que précipiter l’échéance de la faillite de l’État.


►►►►►►►► Le modèle budgétaire monétariste néoclassique :
réformes structurelles et soumission à la loi du dumping - L’euthanasie de l’État-providence


La Dette Publique, instrument de déconstruction de la protection sociale,
de la redistribution et de la cohésion sociale

  • La justice économique et la cohésion sociale sont mises à mal, au point de faire régresser la démocratie elle-même:

    Cliquer :
    « Le prix de l’inégalité » - Joseph STIGLITZ - Les liens qui libèrent, 2012

    « privatisation du secteur public / remise en cause du principe de proportionnalité de l’impôt en fonction du revenu et du capital / désengagement des services publics / régression de la protection sociale et de la fonction de redistribution / accélération de la déréglementation et de la dérégulation économique, du libre-échange de biens et de services, et ouverture du territoire national aux investisseurs étrangers… »

    quelle est cette recette, étrange et indigeste au point de si gravement nous intoxiquer ?

    (lire la suite…)

    • Dette et solvabilité de l’emprunteur.

      Pour un particulier comme pour l’État, tout prêt est normalement soumis à une évaluation de solvabilité future, basée sur les revenus présents. Les revenus de l’État sont proportionnels à l’activité économique du pays (impôts sur le revenu, sur les sociétés, et sur la consommation) et à la richesse de la population (impôts sur le patrimoine).

      ● Une crainte justifiée de tout prêteur conscient de ses risques consiste dans le surendettement des emprunteurs. Or si le défaut de paiement d’un particulier peut être couvert par une assurance, la défaillance simultanée d’un trop grand nombre d’emprunteurs entraîne également la défaillance des assureurs.

      ● Quant à la défaillance financière d’un État, elle ne peut être couverte par aucun système d’assurance ordinaire. Dans le meilleur des cas, son sauvetage relève du Fonds Monétaire International (FMI) ou, comme dans le cas de pays membres de l’Union Européenne, d’une couverture par les autres pays membres via la Banque Centrale Européenne (BCE).



      La croissance économique, le seul moyen de s’affranchir de la dette.

      ● Les revenus de l’État, c’est-à-dire ses recettes fiscales, étant proportionnelles au Produit Intérieur Brut du pays (PIB), c’est ce dernier qui permet de se faire une idée de la capacité de l’État de rembourser sa dette.

      ● Quant à la solvabilité à venir, elle dépend de l’évolution PIB. Si la dette publique augmente, alors que le PIB stagne, voire diminue (récession), la solvabilité de l’État se fragilise.

      ● La dette est constituée du capital et des intérêts. Or le montant de ces derniers, même à taux fixe, croissent avec le temps de manière exponentielle, pour le plus grand bien des détenteurs de la dette (les prêteurs) que sont, pour l’essentiel, les établissements financiers privés ! Plus le total du capital emprunté et non remboursé augmente, et plus cette boule de neige devient un boulet.

      ● Pour qu’un État puisse continuer d’augmenter son volume d’emprunt, et donc que son économie le supporte, cela suppose que :

      la base de ses recettes, le PIB, augmente également,

      et que ses dépenses ne croissent pas plus que proportionnellement.

      Or l’augmentation du PIB, d’une année sur l’autre, c’est précisément cela la croissance économique.

      Jusque là, tout technicien de la comptabilité nationale n’y trouvera certainement rien à redire.



      Le biais structurel conditionnant la croissance économique.

      ● Une condition essentielle de réalisation de croissance économique, repose sur la compétitivité des entreprises.

      ● Dans le contexte du dumping commercial structurel en vigueur à l’échelle mondiale, la compétitivité repose principalement sur la baisse des coûts de production.

      ● La variable d’ajustement n’est pas tant la marge (exigence de profit oblige) mais les autres coûts. Le plus flexible d’entre eux, en tout cas le plus ciblé, est le coût du travail.

      ● La diminution de son coût peut être obtenue de 3 manière différentes :

      remplacer le travail humain par des machines (mécanisation),

      déplacer la production vers des territoires à bas coût (délocalisation),

      réduire le coût local du travail par sa flexibilisation.

      Ce sont 3 facteurs de l’équation de la compétitivité sociale des entreprises et du profit, dont le choix est généralement strictement financier, à court terme.

      Or le fait de brandir la menace des deux premières options permet d’exercer une pression sur le dialogue social, localement.

      ● C’est ainsi que le dialogue social est progressivement détourné par le déplacement de son centre de gravité vers l’exigence du profit actionnarial, servant la stratégie planétaire des plus grands groupes multinationaux qui, par ce biais, dictent leur propre loi aux États en se substituant à leur gouvernance.

      Ce qui, à terme, n’évite pourtant pas l’automatisation et la stagnation des salaires.

      Aïe ! Cela signifie toujours moins d’emploi local et moins de pouvoir d’achat réel…

      ● Alors, comment rendre la situation tenable ? En la masquant, en jouant sur le pouvoir d’achat. Il s’agit en fait de rendre le pouvoir d’achat plus virtuel. Au lieu de pouvoir acheter des produits et services à leur coût réel local, importons davantage de produits, et même de services low cost…



      La seconde mâchoire du même étau

      ● Que se passe-t-il si un État ne renonce pas de lui-même à ses dépenses, lorsque ses recettes ne permettent plus d’équilibrer son budget ?

      Deux situation sont à prendre en compte :

      soit il demeure solvable et, théoriquement, il ne devrait pas y avoir de problème.

      Mais rien n’est moins sûr… Car si une agence de notation ou d’autres opérateurs financiers suffisamment puissants décident de dégrader malgré tout sa note, l’augmentation des taux qui lui seront appliqués le rendront insolvable.

      soit il est insolvable et, théoriquement, il devrait avoir un gros problème.

      Mais rien n’est moins sûr… Car si une agence de notation ou d’autres opérateurs financiers suffisamment puissants décident de maintenir malgré tout leur confiance, l’État pourra continuer d’emprunter… (cas des “subprimes” avant l’éclatement de la bulle immobilière, ou cas de la Grèce dont les comptes ont été maquillés par Goldman & Sachs).

      Et que penser raisonnablement de la situation réelle des systèmes financiers de pays tels que les États-Unis ou la Chine ? Leur fiabilité est-elle garantie par leur dimension : Too big to fail ? Vraiment ?

      ● Maintenant, venons-en au cas d’un État mis en redressement financiers, que ce soit à juste titre ou non.

      Le sauvetage se fait alors aux conditions du sauveteur, la cure néolibérale standard, un plan de réformes structurelles :

      privatisation maximale des services publics,
      réduction du train de vie de l’État,
      renonciation maximale de l’État à la redistribution sociale (amortisseurs
      sociaux),
      flexibilisation du marché du travail (déconstruction du droit du travail)
      et… réduction de la fiscalité sur les revenus et sur le patrimoine !
      … pour ne pas risquer de tuer le virus aux œufs d’or ?



      Car en parfaite orthodoxie néo-libérale, c’est bien connu, l’impôt tue l’impôt.

      L’impôt levé par l’État constituerait désormais un anachronisme.

      Comme dans les systèmes féodaux, les seigneurs lèvent l’impôt et s’arment régulièrement contre leur suzerain. Les milliardaires peuvent donner à la collectivité beaucoup plus que le système fiscal en vigueur ne leur demande de le faire. Bill Gates, Warren Buffets, et jusqu’à ce gamin créateur de FaceBook, Mark Zuckerberg, à la réussite insolente, tous nous en auraient convaincus. Mais à condition que ce soit un acte volontaire, résultant avant tout de leur bon vouloir humaniste… Toujours suivistes, les nôtres leur emboîtent le pas, en France, en Allemagne, en Italie…

      En contrepartie des politiques de rigueur qui déconstruisent le système social des pays développés, ces champions de la mondialisation, en grande partie responsables de nos malheurs, vont apporter leur contribution volontaire aux États.

      ● Lesquels sont désormais investis du rôle de liquidateur des dispositifs de protection sociale, en substitution des fonctions de gouvernance socioéconomique pour lesquelles nous avons élu nos représentants, mais dont ils ont été démis par les marchés !

      ● Nos votes proposent, les marchés disposent. Nos démocraties se décomposent. C.Q.F.D., hélas !

      La France, pays riche qui a bénéficié d’un des meilleurs systèmes de protection sociale au monde, « compte entre 4,5 et 8,2 millions de pauvres selon la définition adoptée… Depuis 2002, la pauvreté ne cesse d’augmenter. »

      Cliquer :
      Observatoire des Inégalités - 30 août 2011 : « La pauvreté en France »



Liste des liens documentaires consultables


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57. Chômage, un mensonge d’État

58. Chômage et exploitation humaine, les 2 jambes du néo-libéralisme en marche forcée partout dans le monde

59. Le boom du surendettement !

60. Le nombre de SDF a augmenté de 50% depuis 2001

61. Restos du cœur : une fréquentation en grande augmentation

100. Les agences de notation : discréditées par leurs conflits d’intérêts

101. Les agences de notation sacquent les aspirations démocratique des Tunisiens…

102. L’arène économique boursière : « Ave, speculator. Morituri te salutant !

103. Bruxelles : lobbying financier

104. Corruption au Parlement Européen

105. L’Europe du Capital (« Le Président », de Henri Verneuil - 1961 - avec Jean Gabin (d’après Georges Simenon, dialogues de Michel Audiard)

106. Le remède libéral de la Commission pour soigner l’Europe en crise

107. Réaction citoyenne contre la libéralisation du marché de l’eau en Europe

109. Georges Pompidou, alors 1er ministre de De Gaulle, prône le libéralisme à l’américaine (néolibéralisme) dès 1967

110. Les 3 principaux facteurs de la dette publique, de Pompidou à nos jours

111. Article 104 du Traité de Maastricht de 1992 (article 123 du Traité de Lisbonne)

112. D’où provient l’argent de l’économie mondiale ? Pourquoi la dette publique grossit-elle si vite ?



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