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L’interdépendance entre le local et le global
Du global au local : la mondialisation économique s’impose à tous les territoires.
Du point de vue d’une part croissante d’analystes, que nous partageons :
l’économie mondialisée est désormais dominée par une oligarchie planétaire,
laquelle instrumentalise à son avantage les organismes commerciaux et financiers supranationaux (OMC - FMI - BM - UE),
dont les règles s’imposent aux États-nations, affectant leurs équilibres socioéconomiques locaux,
notamment par la spéculation financière et la financiarisation de l’économie réelle,
dont les effets délétères sur l’équilibre budgétaire des États font exploser leur dette et régresser leur cohésion sociale,
donnant un prétexte à ces prétendus régulateurs supranationaux pour imposer leurs réformes structurelles aux États-nations ;
réformes allant toujours dans le sens d’une privatisation croissante du secteur public et de régression continue de la protection sociale et environnementale,
d’une intensification du libre-échange et des flux mondiaux de biens et services et de capitaux, en priorité au bénéfice des membres de l’oligarchie mondiale,
au prétexte d’un rattrapage de développement socioéconomique des Pays En Développement (PED), mais en réalité grâce à l’exploitation de la majorité de leur population,
les profits des hyper-gagnants de ce processus économique “mondialisation” s’évadant vers les paradis fiscaux, responsables de l’accroissement exponentiel de la dette public des États.
La prépondérance des organismes commerciaux et financiers supranationaux (au service d’une oligarchie planétaire) sur les programmes de l’Organisation des Nations-Unies, supposés servir les intérêts des populations mondiales, revient à une confiscation privée des principes démocratiques qui l’ont fondée, à commencer par
ceux de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme.
Voir le détail de ce processus en page : spirale économique toxique
http://www.francetvinfo.fr/huile-d-olive-plantes-medicinales-absinthe-l-union-europeenne-entre-dans-nos-cuisines_334728.html#xtor=AL-54
Négatif : la mondialisation actuelle
Positif : absent du fait de l’absence de régulation mondiale DD
Souhaitable :
Du local au global :
Négatif :
Positif :
Souhaitable :
Du local au local :
Une double dimension :
Sur un même territoire
De territoire à territoire
Négatif :
Positif :
Souhaitable :
“LtoL” sur un même territoire
Relations équilibrés et échanges réciproques de territoire à territoire
http://lesrapports.ladocumentationfrancaise.fr/BRP/034000205/0000.pdf
http://fr.wikipedia.org/wiki/Gouvernance_territoriale
http://developpementdurable.revues.org/106?&id=106
http://developpementdurable.revues.org/1068
- Comment favoriser en tout lieu l’ancrage territorial de l’activité économique et valoriser les entreprises locales. Est-il possible de les immuniser contre le dumping résultant d’importations constituant une concurrence non soutenable ?
- PME & PMI, assurant les 2/3 des emplois locaux, et aux TPE, employant 3,5 millions de personnes en France. Les PME, PMI et TPE françaises produisant localement, sont plus que toutes autres susceptibles de répondre aux conditions prévues par la norme internationale RSE ISO 26000.
- Comment favoriser l’ancrage territorial de l’activité économique et valoriser les entreprises locales. Est-il possible de renforcer leurs défenses immunitaires contre le dumping résultant d’une concurrence non soutenable ?
- Comment prendre en compte l’économie informelle d’un pays en développement (PED) dans la gouvernance RSE d’une filière produit ?
→ Comment, par exemple, prévenir le travail des enfants, sans aggraver leur situation ou celle de leurs familles ?
→ Quel niveau de rémunération et quelle protection sociale considérer comme responsables, selon les territoires ?
- Émulation sectorielle RSE et DDCoopération entre entreprises d’un même secteur visant à :
→ leur progrès QSE constant, dans le sens d’un développement local soutenable (efficacité économique, emploi et cohésion sociale),
→ la mise en évidence du différentiel QSE en leur faveur, pour contrer une concurrence irresponsable.
- La généralisation d’une telle approche inciterait les organisations et les pays générateurs de dumping à remédier aux stratégies de profit irresponsable, en faveur de la RSE et de développement local durable en tout lieu…
À la condition que, localement, la liberté d’expression et d’action permette une démarche intégrée DD & RSE cohérente et crédible…
► De l’économie…
- Il est indéniable que l’économie constitue l’axe central du développe- ment.C’est pourquoi les projets humanitaires axés sur le développement cherchent toujours à pérenniser les effets positifs des autres actions (éducation, santé, aménagement) par l’autonomisation économique des populations.
► …au développement…
- Mais si les fondamentaux de gouvernance locale ne permettent pas d’assurer une vie décente aux populations (corruption, pillage des ressources naturelles, fraude fiscale, violence, dictature), les effets positifs de l’aide au développement ne sont pas durables car ils sont annihilés par le système politico-économique.
► …via la RSE.
- L’analyse de la RSE des entreprises d’un territoire, révèle à la fois le potentiel local de développement durable et la RSE de la gouvernance mondiale.
- Ainsi, indicateurs de DD et de RSE sont-ils forcément complémentaires : par ex. la répartition des revenus entre travail et capital renforce la cohésion sociale, ou l’affaiblit.
► Le P.N.U.D.et le développement
- Le Programme des Nations Unies pour le Développement - le PNUD - travaille au développement des PED, en coordination avec les autres bureaux de l’ONU. Toutefois, la cohérence entre sa mission et les politiques de l’OMC et du FMI est toujours aussi peu évidente…
► Indicateurs d’un développement socioéconomique soutenable
- Avant de choisir ou de mettre au point un ou des indicateurs permettant d’évaluer un développement socioéconomique soutenable, il est évidemment nécessaire d’avoir défini ce qu’est le développement durable, et quels critères en rendent le mieux compte.
- Nous savons en quoi le Produit National Brut (PNB) et le Produit Intérieur Brut (PIB) ne conviennent pas, et encore moins leur moyenne (PNB ou PIB par habitant) qui masque les disparités de répartition de la richesse créée.
Le PNUD a mis au point l’Indicateur de Développement Humain (IDH), de plus en plus pris en compte, basé sur la longévité, le niveau d’éducation et le niveau de vie. Il constitue un progrès, mais ne suffit pas car il ne prend pas en compte les disparités de répartition, la pauvreté, la corruption, la pollution, la violation des droits fondamentaux, etc.
→ un bon indicateur doit bien sûr parvenir à traduire l’état de développement,
→ mais il doit aussi intégrer ou être complété par la prise en compte des facteurs favorisant ou, au contraire, compromettant un développement durable.
► Intégration : Production & Consommation Durables (PCD) et Utilisation Efficiente des Ressources (UER)
- Le concept de production et consommation durables est défini comme «… l’utilisation de services et de produits qui répondent à des besoins essentiels et qui contribuent à améliorer la qualité de la vie tout en réduisant au minimum les quantités de ressources naturelles et de matières toxiques utilisées, ainsi que les quantités de déchets et de polluants rejetés tout au long du cycle de vie du service ou du produit de sorte que les besoins des générations futures puissent être satisfaits » (Ministère de l’environnement norvégien 1994). Il diffère donc selon les territoires, et notamment d’un pays en développement à un pays développé.
Mais l’objectif de la PCD étant pour le PNUE Programme des Nations Unies pour l’Environnement http://www.unep.org/french/ de « permettre la croissance économique tout en respectant les contraintes environnementales, en trouvant des moyens pour minimiser les atteintes à l’environnement naturel, et en utilisant les ressources de la planète dans une optique durable », soit la notion de croissance économique doit être fondamentalement repensée (et ce terme conserverait-il alors un sens ?), soit le DD serait voué à l’échec ou, pire, prolongerait les dérives d’un système économique structurellement irresponsable.
- P.C.D.Comment favoriser une adéquation entre consommation et production durables, sur la base d’une division internationale du travail, éloignant la production des lieux de consommation ?
Loin des yeux, loin de la conscience… Et donc, quel potentiel de synergie conservent alors les parties prenantes salariés et consommateurs ?
► Ancrage territorial
- Donc toute approche orientée vers la soutenabilité sociétale et environnementale de l’économie (ISO 26000), plaide pour le (ré) ancrage territorial d’une économie au service du développement local, de l’auto-suffisance alimentaire et de l’auto- détermination socioéconomique des populations.
► U.E.R.
- Une utilisation efficiente des ressources ne doit-elle pas s’appliquer aux distances parcourues par les filières de production et la distribution ? Outre l’application de l’ACV et des MTD (meilleures techniques disponibles) aux process (production, maintenance, recyclage), l’UER doit aider à responsabiliser les territoires.
Vos enjeux de DD et de RSE
► Entreprises et Services Publics…
- Pour optimiser la QSE de vos produits ou de vos services, et en faire un avantage concurrentiel pour vos clients ou vos usagers, vous devez parvenir et, au besoin, apprendre à :
→ identifier les points à risque de votre RSE,
→ réduire les coûts de la non-qualité en sachant y remédier,
→ investir de manière cohérente dans votre gouvernance RSE (méthodologie, temps, équipements),
→ prouver à vos parties-prenantes (investisseurs, État, salariés, usagers, consommateurs…) que votre RSE prend en compte leur intérêt,
→ et leur fournir les preuves pertinentes de cette QSE.
Consommateurs, salariés et société civile…
Pour vous assurer que les produits et services que vous propose le marché, ainsi que les services publics et même les politiques gouvernementales, respectent durablement vos intérêts, vous devez savoir et, au besoin, apprendre à :
→ identifier les critères pertinents de qualité relevant de la RSE des entreprises, comme de celle des pouvoirs publics et de l’État … et de la vôtre ! (consommation et travail responsables, civisme),
→ distinguer le juste prix de la QSE des biens et services, du prix bas (low cost) non durable, nuisible à l’environnement, ainsi qu’à votre pouvoir d’achat et au développement socioéconomique local et global à long terme,
→ exiger des entreprises, des pouvoirs publics et des gouvernants la transparence et les garanties indispensables à votre discernement,
→ exercer au mieux vos propres responsabilités de consommateurs, salariés et citoyens responsables.
Pouvoirs Publics, politiques et associations citoyennes…
Pour assumer vos engagements citoyens et vous assurer des moyens de leur réalisation dans l’intérêt véritablement général, vous devez parvenir à :
→ maîtriser la cohérence globale de vos projets, de votre gestion et de vos actions, en les inscrivant dans une logique et une dimension systémique,
→ évaluer à court et long terme, comme toute entreprise responsable, les coûts de la non Qualité S&E, mais à l’échelle de notre société et du monde, en concertation démocratique avec les parties prenantes de DD,
→ mettre ces coûts en perspective avec le coût global d’une politique de DD proactive, en revisitant les grands équilibres macroéconomiques sous l’angle d’une RSE assumée,
→ enfin, réviser en conséquence les grands arbitrages macroéconomiques nationaux et défendre avec force leurs principes re-régulateurs à l’échelle internationale (OMC - FMI - BM & UE).
Votre RSE
→ Gouvernance
→ Droits de l’Homme
→ Relations & conditions de travail
→ L’environnement
→ Loyauté des pratiques
→ Questions relatives aux consommateurs
→ Communautés et développement local
Fiche RSE - ISO 26000 - Communautés et Développement local
→ Domaine d’action 1 : Implication auprès des communautés
→ Domaine d’action 2 : Éducation et culture
→ Domaine d’action 3 : Création d’emplois et développement des compétences
→ Domaine d’action 4 : Développement des technologies et accès à la technologie
→ Domaine d’action 5 : Création de richesses et de revenus
→ Domaine d’action 6 : La santé
→ Domaine d’action 7 : Investissement dans la société
Conformément à la norme ISO 26000 : Voir la page PRIX DURABLE de notre site ” FRANCE DURABLE ” ®…au-delà des critères de qualité organoleptique ou d’usage habituellement pris en compte pour déterminer un rapport qualité / prix, les coûts de production et de distribution doivent également intégrer les 7 critères RSE suivants :
1. Votre gouvernance (gestion de la qualité globale) : Y compris la qualité sociale, environnementale et économique (volonté, capacité, pertinence, cohérence, efficacité, transparence et traçabilité)· coresponsabilité des partenaires à l’égard de leurs parties-prenantes,· donc, nécessité de traçabilité de vos process (quoi - où - qui - comment ?)
2. Droits de l’Homme (économie citoyenne) :Respect des droits fondamentaux des populations en tous lieux.· les pratiques de vos filières doivent pouvoir être évaluées.· mais leur contexte géopolitique est forcément déterminant.
3. Relations & conditions de travail (qualité sociale) :
Hygiène & Sécurité, rémunération, liberté syndicale et protection sociale des travailleurs en tous lieux.
Socio-conception.
· ce volet peut être couvert par la certification SA 8000,
· mais l’économie informelle des PED* nécessite un autre type d’approche.
4. L’environnement (qualité environnementale) :
Protection de l’environnement et gestion du cycle de vie du produit ou du service.
Eco-conception.
· ce volet particulièrement systémique recoupe pratiquement tous les autres,
· plusieurs types de certifications le concernent.
5. Loyauté des pratiques (qualité économique) :
Transparence & intégrité économique (refus de la corruption et de la fraude fiscale ; répartition équitable des revenus de la filière).
Economie citoyenne.
· ce volet est stratégique, car il peut suffire à biaiser tous les autres,
· il est d’autant plus complexe à évaluer…
6. Questions relatives aux consommateurs et utilisateurs (leurs intérêts) :
Dont la sécurité des consommateurs : respect de la réglementation + principe de précaution (celle des travailleurs relève de la “qualité sociale”. )
· elles peuvent sembler a priori les moins difficiles à analyser,
· mais elles intègrent aussi une dimension politico-économique complexe.
7. Communautés et développement local (qualité sociétale) :
Impact positif de l’activité économique sur la société (ancrage territorial, emplois directs et emplois induits, droits fondamentaux, conditions de vie…)
· comme l’environnement, ce volet est éminemment systémique,
· il est en forte interaction avec tous les autres.+Preuves de la qualité justifiant le prix (votre gouvernance) :
évaluations / certifications indépendantes de cette qualité globale.
La transparence économique, facteur de discrimination RSE positive
· Certains acteurs économiques estiment avoir intérêt à maintenir l’opacité de leurs activités. Leur image ne résisterait pas à une analyse des impacts de leurs pratiques sur l’environnement, l’économie, et les sociétés, localement et globalement.
· D’autres, au contraire, ont intérêt à jouer la transparence pour valoriser leurs pratiques et bénéficier de l’effet comparatif, en se démarquant ainsi des premiers (compétitivité qualitative).
Que vous soyez entreprise privée ou service public, pouvoir public ou association, que vous soyez salarié ou non, étudiant ou retraité, tous consommateurs et citoyens, dès lors que vous êtes conscients que l’opacité économique qui préside aux échanges commerciaux et financiers actuels n’est ni dans votre intérêt personnel, ni dans l’intérêt général… vous aspirez à une nouvelle donne, celle de la transparence économique.
Origine : localiser votre RSE
Une gouvernance de la qualité et des risques (RSE) inhérents à toute filière de produit, de service ou de capitaux, suppose de pouvoir en analyser le cycle de vie (ACV). Encore faut-il pour cela parvenir à remonter à la source, c’est à dire à l’origine de chacun des principaux flux de process, pour pouvoir les suivre et les gérer jusqu’à leur destination finale.
ORIGINE des Biens & Services, les lois et l’esprit des lois :
Avec la mondialisation de la production et du commerce, et la globalisation financière, l’économie est devenue de plus en plus opaque.
· Une réglementation (bulletin officiel des douanes : l’origine des marchandises) http://www.douane.gouv.fr/page.asp?id=512 nationale et communautaire (européenne) s’applique à l’origine géographique des marchandises (assortie du certificat d’origine) et en encadre le marquage. Mais sa mention obligatoire ne concerne plus guère que quelques produits agroalimentaires.
· Si la mise sur le marché de certains produits est bien soumise à des conditions de qualité, en particulier de sécurité des consommateurs (alimentation, médicaments, automobile, jouets, etc.), La réglementation européenne sur la sécurité des jouets http://www.puy-de-dome.cci.fr/europe/doss/2009/0909.php les contrôles à l’importation sont essentiellement laissés à la vigilance de l’importateur… Or les moyens alloués aux douanes et à la DGCCRF sont sans commune mesure avec l’importance et le parcours réel des flux d’import-export.
· Enfin et surtout : pour plupart, les produits ne sont soumis à aucune obligation d’indication d’origine MARQUAGE D’ORIGINE DES PRODUITS INDUSTRIELS http://www.douane.gouv.fr/data/file/1480.pdf . Or, sauf mesure sanitaire ponctuelle, aucune condition de QSE particulière en fonction de l’origine n’est appliquée, malgré l’existence de risques RSE bien connus liés à l’origine des Biens & Services ou des capitaux.
POURQUOI la notion d’origine est-elle importante ?
L’origine constitue un facteur majeur de la gouvernance RSE du point de vue de la localisation de l’activité économique d’une filière, compte tenu des risques ou au contraire des garanties (législation) attachés aux territoires. Cette problématique est justement au centre des enjeux de concurrence responsable.
· Relations entre Origine et RSE : à chaque territoire correspond un contexte géopolitique, sociopolitique, socioéconomique, culturel, climatique, etc. porteur en soi de qualité ou de risques spécifiques qui se combinent aux risques liés au process de production.
· Un tapis persan a vocation à être fabriqué en Iran, et une porcelaine de Limoges, à Limoges. Il s’agit d’une origine “naturelle”, qui fait sens en termes d’ancrage territorial et de patrimoine local.
· En revanche, une stratégie de Division Internationale du Travail (DIT) et de localisation de process cherchant à spécialiser les territoires en fonction de leur potentiel de minimisation des coûts, présente, selon les lieux, un risque accru d’exploiter des handicaps locaux (exploitation humaine, pollution, exportation de déchets industriels, etc.), ou une chance de réellement contribuer à les résoudre, et de valoriser un potentiel local (pôles de compétitivité).
· Il est donc légitime que les parties prenantes d’une activité économique sachent à qui elle bénéficie en priorité et quels sont ses impacts sociétaux et environnementaux en fonction de sa localisation.
La traçabilité, COMMENT ?
Notre agence propose une démarche applicable à tous les secteurs d’activité, comportant un axe commun et la prise en compte des spécificités sectorielles. Elle intègre les étapes suivantes :
· Analyse du process et des flux financiers, en vue de leur localisation (origine) et de leur évaluation RSE.
· Identification/Localisation des risques, des parties prenantes et des responsabilités.
· Détermination du niveau de précision adéquat, en fonction des risques et des acteurs identifiés.
· Bilan préliminaire de l’état de transparence de la filière.
· Plan d’intégration et de coopération des acteurs de la filière à la démarche.
Cette phase préparatoire doit permettre de déterminer l’éligibilité d’une organisation (entreprise ou autre) à une telle démarche et le mode de réalisation le mieux adapté :
· du point de vue de sa gouvernance RSE (volonté effective de transparence économique),
· du point de vue de sa capacité à obtenir une coopération à long terme de ses filières.
Socle de la gouvernance RSE de filière, la traçabilité suppose une coopération des partenaires économiques, a posteriori dans le sens aval-amont, ou mieux, a priori dans le sens amont-aval. C’est pourquoi nous attachons une importance particulière à la relation client-fournisseur.
Votre intégration RSE & communication responsable
· Identification et localisation des risques et des responsabilités du cœur de métier et des filières.
· Intégration de la RSE au cœur de métier et aux filières.
· Votre veille réglementaire RSE et technologique QSE.
· Intégration de la RSE à votre système d’information interne et à votre communication externe.
Votre ancrage territorial et développement local soutenable
· Acquisition et prise en compte des spécificités locales : géopolitiques, culturelles, sociales, environnementales, etc.
· Contribution au développement socioéconomique des territoires.
· Contribution à la valorisation environnementale des territoires.
· Prise en compte des enjeux logistiques territoriaux dans la gestion des externalités économiques de l’organisation.
Intégration locale durable de filière :
Application au Made in France
Programme France Durable ®